L’Oral et Hardi, chevauchée verbale immense de Jean-Pierre Verheggen, incarnée de langue de maître par Jacques Bonnafé, que je n’ai pas eu la chance d’ouïr en live mais qui se trouve en livre audio, et qui m’a tenu lieu de sieste crapuleuse ces derniers jours. Sur ma photo, coup de loupe sur le livret qui l’accompagne…
Étiquette : humeur
Défense et illustration du self-control
Hop hop
Allégorie du disque rayé
Deux nouvelles photos de mon projet perso Orienté objet, ou la nature morte qui aide à dire posément des choses vivantes, sans s’épuiser à réciter de pleins dictionnaires d’insultes.
Vues du jardin d’acclimatation
Natalophobie (affaire classée)
Croire au Père Noël (et à ses filles)
Les devoirs de vacances : aujourd’hui se perdre plus qu’hier
Troublants reliefs
Nota bene. Tout est vrai dans cette image : le contraste noir d’encre est le vieillissement naturel du granit, la 3D doit tout au burin… quant aux demandes de précisions et réclamations sur la recette du bonheur, prière de les adresser au Père Lachaise.
Les attractions nécessaires : aujourd’hui, les grands écarts
Injonction à l’injection
Les devoirs de vacances : aujourd’hui, les récompenses de l’aube
Il y a le CIEL…
En un mot, j’étais exaspéré par la jeunesse. Mais Owen Meany, convaincu qu’il était de connaître le moment et les circonstances de sa mort, n’était nullement pressé de vieillir. Quand je lui parlais de notre jeunesse comme d’un purgatoire, Owen disait simplement :
« IL N’Y A PAS DE PURGATOIRE — C’EST UNE INVENTION DES CATHOLIQUES. IL Y A LA VIE SUR TERRE, IL Y A LE CIEL… ET IL Y A L’ENFER.
— L’enfer ? C’est la vie sur terre !
— JE TE SOUHAITE DE BONNES VACANCES. »
John Irving, Une prière pour Owen (Seuil, 1989).
(Owen parle toujours en CAPITALES, cette irrégularité stridente est de son génial auteur…)