Véritables portraits de travailleurs imaginairesUne galerie d’une trentaine de travailleurs fictifs, pour aborder de façon ludique la question de l’identification — ou pas — à son emploi. En complément de la moitié d’entre eux, des textes signés de l’auteur François Chaffin, résonant avec sa création théâtrale 51 mots pour dire la sueur, farce poétique et politique autour du labeur.
 
 
 
Dans la tradition des clichés de travailleurs posant avec la solennité de leur fonction, les gens apparaissent sous leur vrai prénom, complété du métier qu’ils se sont inventé. À l’écoute de leurs aspirations profondes, ils incarnent pour l’objectif une vocation rêvée ou se paient une allusion grinçante au monde du travail réel. La scène est sobre et plausible : rien de plus qu’un geste, un outil intrigant, une façon d’être, lumières et décors naturels.
Ces travailleurs fictifs posent sous leur vrai nom, complété du métier qu’ils se sont inventé. À l’écoute de leurs aspirations profondes, ils incarnent pour l’objectif une vocation rêvée ou se paient une allusion grinçante au monde du travail réel. La scène est sobre et plausible : rien de plus qu’un geste, un outil intrigant, une façon d’être, lumières et décors naturels !
Les textes accompagnant un grand nombre de ces portraits sont signés François Chaffin, résonant avec son écriture de 51 mots pour dire la sueur, farce poétique et politique autour du travail, créée début 2019. D’abord dérivées du texte du spectacle, ces présentations fictives se sont nourries par la suite de ce que lui inspiraient les diverses personnalités photographiées, une sorte de gueule de l’emploi à l’envers, en somme…
Pour un aperçu texte/image au complet, avec une sélection de photos complétées des textes écrits par François Chaffin, rendez-vous sur le site du Théâtre du Menteur…
 
Au-delà…
Ce projet peut donner matière à moult formes d’exposition et d’activités associées. Un dossier professionnel synthétise tout cela…
 
Dossier complet
Ces travailleurs fictifs posent sous leur vrai nom, complété du métier qu’ils se sont inventé. À l’écoute de leurs aspirations profondes, ils incarnent pour l’objectif une vocation rêvée ou se paient une allusion grinçante au monde du travail réel. La scène est sobre et plausible : rien de plus qu’un geste, un outil intrigant, une façon d’être, lumières et décors naturels !
Les textes accompagnant un grand nombre de ces portraits sont signés François Chaffin, résonant avec son écriture de 51 mots pour dire la sueur, farce poétique et politique autour du travail, créée début 2019. D’abord dérivées du texte du spectacle, ces présentations fictives se sont nourries par la suite de ce que lui inspiraient les diverses personnalités photographiées, une sorte de gueule de l’emploi à l’envers, en somme…
Pour un aperçu texte/image au complet, avec une sélection de photos complétées des textes écrits par François Chaffin, rendez-vous sur le site du Théâtre du Menteur…
Au-delà…
Ce projet peut donner matière à moult formes d’exposition et d’activités associées. Un dossier professionnel synthétise tout cela…
Où et quand ce projet a été exposé. Espace culturel de Nangis + Festival Dialogues en Humanité, Lyon + Centre culturel Le Polaris, Corbas (69) + Mezzanine de l’hôtel de ville, Guyancourt (78) + Festival Photos dans Lerpt, Saint Genest-Lerpt (42) / Palme du festival + Rencontres Photographiques du Trièves, Clelles (38), 2019-2021.
La Gueule de l’emploi, un atelier dérivé du projet mené avec des jeunes de Bagneux (FJT et mission locale), coordonné et soutenu par le Théâtre Victor Hugo, Bagneux, 2019. Une expo et la publication d’un livret textes et images, à feuilleter ci-dessous…

 
				











