Herbier intime, ou close-up jamais closCeci n’est pas de la macrophotographie. Plutôt une enquête à la loupe dans mon fatras d’objets trouvés et conservés — dérisoire et merveilleux, mais pourquoi déjà ?! Augmenté de tentatives de légendage factuel et daté, cette façon d’arte povera est un essai de transparence sur les facéties de l’attachement et de la mémoire.
 
 
 
Une fois n’est pas coutume, le matériel photographique a eu un rôle déclencheur dans ce projet. C’est l’acquisition d’un objectif plutôt exotique (pour moi) qui m’a donné goût à la photo de très très près. Cette infidélité au grand angle et à la distance raisonnable m’a amené à l’orée d’un monde où la disproportion et l’absence de profondeur de champ font d’un rien une aventure. En guise de studio : lumière naturelle et simple plan de travail dans ma cuisine.
Sujet unique de ces natures mortes modestes, en technique comme en sujet : les bricoles que j’accumule depuis toujours, parfois en souvenir de moments précieux, parfois pour rien du tout, juste pour l’insolite de la trouvaille.
Au-delà du jeu optique, l’autre versant du mystère est souvent là : les circonstances qui m’avaient amené à conserver « ça »…
 
Présentations d’étape
Par trois fois j’ai dévoilé des extraits de ce projet : images seules délestées de leur légendage (que je craignais trop lourd ou trop intime peut-être) mais organisées en thématiques. Les voici, en diaporamas d’origine.
Compilation #1 : Trompe la mort et tais-toi
Compilation #2 : Toc en stock
Compilation #3 : Parlez-moi d’amour
 
Compilation #1
Compilation #2
Compilation #3
Une fois n’est pas coutume, le matériel photographique a eu un rôle déclencheur dans ce projet. C’est l’acquisition d’un objectif plutôt exotique (pour moi) qui m’a donné goût à la photo de très très près. Cette infidélité au grand angle et à la distance raisonnable m’a amené à l’orée d’un monde où la disproportion et l’absence de profondeur de champ font d’un rien une aventure. En guise de studio : lumière naturelle et simple plan de travail dans ma cuisine.
Sujet unique de ces natures mortes modestes, en technique comme en sujet : les bricoles que j’accumule depuis toujours, parfois en souvenir de moments précieux, parfois pour rien du tout, juste pour l’insolite de la trouvaille.
Au-delà du jeu optique, l’autre versant du mystère est souvent là : les circonstances qui m’avaient amené à conserver « ça »… 
Sujet unique de ces natures mortes modestes, en technique comme en sujet : les bricoles que j’accumule depuis toujours, parfois en souvenir de moments précieux, parfois pour rien du tout, juste pour l’insolite de la trouvaille.
Au-delà du jeu optique, l’autre versant du mystère est souvent là : les circonstances qui m’avaient amené à conserver « ça »…
Présentations d’étape
Par trois fois j’ai dévoilé des extraits de ce projet : images seules délestées de leur légendage (que je craignais trop lourd ou trop intime peut-être) mais organisées en thématiques. Les voici, en diaporamas d’origine.
Compilation #1 : Trompe la mort et tais-toi
Compilation #2 : Toc en stock
Compilation #3 : Parlez-moi d’amour
Ce projet se compose à ce jour (fin 2025) d’environ 130 natures mortes.
Work In Progress, en pointillés depuis 2018, jamais exposé.
Work In Progress, en pointillés depuis 2018, jamais exposé.
Je me souviens du jour de la mort de Jacques Prévert, mais plus de quel jour c’était précisément.
Georges Pérec, Je me souviens (Hachette, 1978).
Orienté Objet (brut non paginé)
 
        
    
				





