Août 2021, Monts du Lyonnais. Bravo et merci.
Et chaque matin, qu’il pleuve qu’il vente, je me débats, et Dieu sait si cela est compliqué avec tout ce système de couvertures, couettes, courtepointes, oreillers et tout ce circuit obligatoire que l’angoisse doit suivre étape par étape pour se dissoudre, je me torture pour savoir s’il est possible d’être heureux. Ou quelque chose d’approchant.
Olivier Cadiot, Un mage en été (éd. POL, 2010).
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Pourquoi titrer en anglais ? Sans doute pour éviter les blagues sur les 4 chevaux… D’autant qu’aucune émission de carbone n’est à imputer à cette production, surprise en pédalant par monts et par vaux, j’ai encore cassé ma moyenne.
Et puis comme je suis incapable de ne pas penser Cadiot dès qu’il s’agit de ce genre de sujet, et que j’ai déjà cité jusqu’à plus soif diverses versions de cheval-mouvement jadis sur Irregular, voici quelques lignes d’une de mes autres œuvres préférées du Maître…
