« Le désir du désir sans fin »

« Le désir du désir sans fin »

Photo © Ernesto Timor - Parfait entrebaillement
Janvier 2018, Paris. Il faut qu’une porte.

Il y a des éraflures écarlates sur la main verte
De ma rêverie églantine.

Funéraire comme une attente à vie, Joyce Mansour, La Brèche, 1964.

Afficher/masquer le bavardage...
Ce coup de calcaire au seuil des merveilleuses Serres d’Auteuil pour tenter de meubler tant bien que mal le silence. Car hélas il est également vrai qu’on n’a que 24 heures dans une journée, et On a deux vies ne cesse de se faire doubler par plus pressé que lui, ces derniers jours… Mais c’est pour mieux prendre le temps de belles éclosions tout soudain !
Le titre de ce post est également emprunté à Joyce Mansour…