La contre-visite

La contre-visite

Photo © Ernesto Timor - Le grand appartement
Décembre 2006, Paris. Surface corrigée.

Comment vendre de l’immobilier de prestige est un ouvrage de 66 pages qui vous donne la clé, le mode d’emploi pour vendre des produits immobiliers de très haut de gamme, pouvant atteindre plusieurs dizaines de millions d’euros. C’est un ouvrage dédié à tous ceux qui ont une bonne expérience des transactions immobilières. Il est susceptible d’intéresser également une très large tranche de lecteurs, en raison de son originalité et des informations qu’on peut y trouver. C’est un livre exceptionnel et unique, qui suscitera sans doute bien des vocations !

Comment vendre de l’immobilier de prestige : la stratégie pour approcher les vendeurs et les acheteurs de produits immobiliers très haut de gamme. (Claude Hajos, édité par l’auteur, 4e de couverture.)

Afficher/masquer le bavardage...
Au premier rang de mes addictions (bénignes ou pas ? les médecins sont partagés…), il y a cette manie de redécouvrir, réchauffer, remasteriser certaines images anciennes. En surface, il s’agit d’abord de les traiter plus finement, avec mes outils dernier cri, il arrive qu’elles y gagnent en netteté et en richesse des ombres — ce faisant elles peuvent y perdre en mystère… Et puis de leur autoriser une vie plus légère, dédramatisée, dans une tonalité souvent moins contrastée et plus réaliste — ce faisant elle peuvent y perdre en expressivité. Sur le fond, en dehors du cas classique des repêchages car alors ce sont les prétendues ratées qui m’interpellent le plus, mon propos ayant évolué, j’ai donc une tendance à l’acharnement sur certains de mes classiques. L’impression qu’elles n’ont pas tout donné, que je me suis arrêté en chemin sans tout à fait leur faire rendre l’âme. Ça confine à la transe quand la photo a saisi un instant fugace, une apparition miraculeuse qu’ainsi je peux rejouer ad lib, sans jamais m’ennuyer. Ça se répète et ça se module, c’est la vie, c’est la vie…
En illustration de ce propos, à moins que mon bavardage ne serve qu’à justifier cette énième rediffusion, une douceur de 12 ans d’âge. Du corps, de l’attaque, relevé par des notes de tapisserie fleurie ; sensation d’autant plus somptueuse que le flacon peut sembler banal…
Quant à l’ouvrage cité pour vous arracher un sourire, il serait hasardeux de prétendre que c’est mon livre de chevet…