Comme ça leur vient : retours de visiteurs et de lecteurs sur cette page (nouvelles critiques bienvenues !)
Les entretiens (y compris radiophoniques !) sont sur cette page…

Bimensuel NVO / La Nouvelle Vie Ouvrière (magazine national publié par la CGT depuis 1909 et qui semble vivre ses tout derniers jours sous forme de publication papier, les plans sociaux sont partout… j’ai en quelque sorte le triste privilège de faire la fermeture).
Amélie Meffre signe une petite chronique bien aimable du livre et de l’expo à la fois…
Une très belle galerie de portraits, assez énigmatique quant au choix des endroits. Un parti pris intéressant, comme un secret que l’on dévoile à peine… Plus qu’un circuit d’un Lyon insolite, Ernesto Timor dit en images comment chacun vit son espace intime dans une grande ville.

Magazine web Actuphoto. Tout arrive : même une longue chronique à la une d’Actuphoto ! Un article étrange, riche en coquilles et erreurs variées (il a même transformé en femme l’ami Dominique Sampiero qui signe la préface !), au point de sembler par moments traduit d’une autre langue… mais qui donne du projet une lecture intimiste très positive !
A lire en version originale en ligne…
Ernesto Timor est cet ami intime, celui qui a voulu pénétrer le quotidien d’individus, amis ou inconnus. Presque surréaliste, la prose de Sampiero se veut introductrice d’un travail sur le corps et la matière, sur l’ici et l’ailleurs, le désir et l’instant. Tous ces thèmes sont effectivement étroitement liés avec la série que propose Ernesto Timor… Les motivations et l’attachement de la personne pour le lieu entrent en jeu, et il s’agit de déceler une correspondance, une lecture sur plusieurs niveaux. L’avantage de l’ouvrage réside dans sa diversité, de nombreux points de vue et sentiments intimes se dégagent des photographies. Images simples et sans complexes, qui présentent une ville, ses habitants, un rapport à l’espace et au temps que chacun est libre d’interpréter selon sa propre vérité, sa propre expérience.

Magazine web Arlyo Mag. Lena Binétruy est venue, elle a vu, elle a été vaincue, dirait-on… !
A savourer intégralement en ligne…
Ernesto Timor revient avec un projet in situ débordant de sincérité, intitulé Mon lieu secret. (…) En plus de raconter une histoire, ses photographies sont d’une beauté saisissante. (…) Sans aucun doute la façon la plus belle et la plus poétique de redécouvrir notre ville, en lui redonnant toute sa dimension artistique.

Trimestriel Ego La Revue. Pleine page « coup de foudre » ! On y retrouve une des photos les plus élégantes de Mon lieu secret (choix logique pour ce city magazine chic et choc) mais aussi, sous la plume d’Audrey Dupont, un petit article acéré qui dit de belles choses sur le fond du projet. A lire intégralement sur la version PDF feuilletable en ligne…
Le travail d’Ernesto Timor évite la carte postale. Il invite à voyager dans l’intime. Au cœur de l’être et de la ville lorsque ceux-ci ne font plus qu’un. Il interroge sur ce que l’espace dit de nous et sur ce que nous lui faisons dire en l’ayant choisi. Lieux à messages, de souvenirs, décalés ou symboliques, endroits en mutation, point d’ancrage ou point de départ, écrins de confidences, lits des premières ou dernières fois… Avec sa galerie de portraits, Ernesto Timor n’invente pas le mieux-être mais le « lieu-être » : la prolongation d’un paysage intérieur où il se raconte une émotion.

Bimensuel A Nous Lyon. Un chouette article à la veille de la parution de Mon lieu secret signé Frédéric Crouzet, à lire plus aisément en PDF.
Le photographe Ernesto Timor publie, aux éditions Libel, un joli recueil intitulé Mon lieu secret, une galerie de portraits de Lyonnais qui ont accepté de prendre la lumière dans un endroit qu’ils affectionnent. À travers ces visages, bien souvent anonymes, et des arrières-plans pas toujours identifiables, apparaît un étonnant et intime portrait de la ville…

Blog de critique artistique Main tenant. Marc Verhaverbeke était présent à la première rencontre parisienne autour du livre et y a posé son œil curieux et bienveillant. A lire ici.
Belle façon de découvrir une ville avec celles et ceux qui y vivent. Et photos jamais prises auparavant. De courts textes accompagnent les photos, décrivant sans décrire, favorisant la rencontre, croisant le singulier, l’insolite et le familier.

Presse en ligne Rue89 Lyon. Un entretien avec Leïla Piazza autour de la genèse de Mon lieu secret, et plus encore, puique cela prend place dans la saga d’interviews C’est bien beau d’être artiste… A retrouver intégralement ici.
Tout juste arrivé à Lyon, le photographe Ernesto Timor veut apprendre à découvrir la ville. Devant la réserve légendaire des Lyonnais, il s’arme d’un projet : Mon lieu secret. Ponts, parcs, toits, chambres, fenêtres sur cour, cimetières, toilettes… Ici les lieux sont détonants !

Mensuel Lyon Capitale. C’est dans le dossier Vive la crise, un article de Claire Teysserre-Orion sur le crowdfunding. L’interview avait eu lieu à mi-parcours du KissKissBankBank lancé pour aider à financer le livre Mon lieu secret, on ne savait pas encore si l’issue serait heureuse… J’ai surligné les passages qui me concernent, pour les lecteurs pressés…
Quand le public révèle et produit des talents…

Quotidien Le Progrès. Oh, un papier de la presse locale qui est une vraie jolie critique ! Monique Desgouttes-Rouby a écrit sur mon exposition Incartades, en juin-juillet 2013 à l’Espace Albert Camus de Bron.
« A voir sans faute ces scènes familières et surréalistes, portes entr’ouvertes sur l’autre côté d’un miroir. Les œuvres d’Ernesto Timor sont traversées par des lignes de fuite, des trouées de lumière, des silhouettes furtives dans la pénombre de la ville… »

Quotidien Le Progrès. Karine Kranich signe une jolie critique de l’expo Les limites nous regardent, en février 2010 à la médiathèque de Roanne.
« Photographe laborantin, Timor philosophe sur le sens du cadre et s’amuse à le déconstruire… Regardants regardés, acteurs ou spectateurs : le visiteur continue le petit chemin de pensée que ces deux pionniers* ont foulé. A suivre absolument. »
* Autre exposant de ce mois sur la thématique de la frontière, dans les rayonnages de la médiathèque cette fois : Guy Morrison.