
… C’était une année de Singe d’eau, puis ce fut une année de Coq, d’eau également, puis une année de Chien de bois. Je me doutais qu’un jour cela n’existerait plus. Je me doutais qu’un jour il faudrait aimer ici autre chose, d’autres mystères humains, d’autres corps. Un jour ici il faudrait apprendre à aimer différemment, et peut-être accepter d’aimer le pire.
(Antoine Volodine, Macau, ça vient de sortir, de m’arriver, je suis dedans, à sa merci…)

