Disons cela et n’en parlons plus
« Lorsque j’arrivai chez Enzo Mardirossian, il n’était nulle part visible. Je m’installai à proximité, mangeant les provisions que j’avais compté lui offrir pour rémunérer ses services. Il commençait à faire froid. Parfois, tandis que le jour déclinait, on voyait des flocons grisâtres sortir de terre et déraper en silence…