
« Seul dans le restaurant vide, j’ai avalé les amuse-bouches en pensant à Léontine. Peut-être avait-elle un homme dans sa vie. Ou une femme. Voire les deux. Il ne devait pas y avoir de limites lorsqu’on disposait, comme elle, d’un visage aussi magnétique. Et des yeux dessinés un soir de tempête. Ça j’ai bien aimé. J’ai pris mon carnet et j’ai noté “Ses yeux dessinés un soir de tempête…”. À défaut de lui en faire un poème, je pourrais toujours m’en servir pour un personnage. »
— Julien Bouissoux, Voyager léger. Comme son titre l’indique…
