
À la fin, du moins dans notre monde post-exotique, il n’y a pas non plus de verbe. Comme au début, il n’y a pas de verbe. Seule l’image compte. Les voix se taisent et seule compte l’image. Qu’elle s’éteigne ou non, qu’elle veuille dire quelque chose ou non, à la fin, et quand je dis la fin c’est vraiment la fin, seule compte l’image.
(Final de la conférence de Maria Trois-Cent-Treize, l’un des morceaux de bravoure de l’ultime Écrivains d’Antoine Volodine…)
