Catégorie : quotidien
“Foufous à volonté”
L’Oral et Hardi, chevauchée verbale immense de Jean-Pierre Verheggen, incarnée de langue de maître par Jacques Bonnafé, que je n’ai pas eu la chance d’ouïr en live mais qui se trouve en livre audio, et qui m’a tenu lieu de sieste crapuleuse ces derniers jours. Sur ma photo, coup de loupe sur le livret qui l’accompagne…
Abyme d’altitude
Pur diverticule
Hop hop
Un double de papier
Il y a des bouquins où vous vous retrouvez sans prévenir. “Le café sent l’Afrique ou Timor”, cette perle est le punctum de la page photographiée ci-dessus. D’ailleurs lisez-la en entier cette page, nonobstant sa netteté sélective, oui oui, jusqu’à “Il s’approche de la fenêtre et, avec tout la nostalgie qu’il est capable de convoquer en pleine gueule de bois, regarde vers l’infini, un lieu qui se déploie de l’autre côté des fenêtres.”
Cela sort d’un roman portugais découvert par hasard (attiré par l’illustration d’un décapsuleur croisé en couverture, dois-je dire), qui s’est avéré un petit bijou, créativement dingue sans être délirant, le mieux est de le lire à votre tour…
Jésus-Christ buvait de la bière, Afonso Cruz (éd. Les Allusifs, 2015).
Allégorie du disque rayé
Deux nouvelles photos de mon projet perso Orienté objet, ou la nature morte qui aide à dire posément des choses vivantes, sans s’épuiser à réciter de pleins dictionnaires d’insultes.
Le mur intérieur
Le point de vue où j’en suis
Le jour où tu trouveras des titres moins alambiqués, Ernesto, tu éveilleras sans doute moins l’intérêt des plus cérébraux-a-l-e-s de tes ami-e-s, mais ce sera signe que tu vis plus simplement ! Bref, voici la recette du cocktail : Le point de vue où j’en suis = Le point de vue de ma fenêtre + Le point où j’en suis, deux de mes formules magiques rituelles. Ça vaut bien deux photos pour le prix d’une (et un petit effort d’entretien des trains qui ne vont pas à grande vitesse, si on est frustré par les vitres qui arrêtent le regard, ce qui n’est pas forcément mon cas, ah là là…) !
Vues du jardin d’acclimatation
Les inventions oubliées : aujourd’hui, le nu artistique
Le grand air des aires d’autoroute
Le titre est emprunté à l’un de mes jeux préférés des Papous dans la tête (émission de France Culture à découvrir d’urgence si vous avez réussi à toujours passer à côté sans vous arrêter). La photo est un modeste trophée de ma vie d’aventurier de l’A6.