
Cela fait treize jours, ou deux siècles, ou peu importe, que j’erre dans les pages de Terminus radieux, le dernier Volodine. Il est rare que je résiste au besoin de partager quelques lignes d’un de ces voyages post-exotiques, une fois le livre refermé. Mais là, voici une étrangeté photographique tombée de mon viseur qui n’en peut plus d’attendre son écho… Le silence qui suit est de Volodine… ;-)
