
Peut-être que je lis trop de Modiano, la confusion des temps me guette de plus en plus au tournant. En quête de décor pour une séquence photographique furieusement contemporaine (par exemple un futur épisode des Salles d’attente, mmm), j’ai découvert à la place un garage assez merveilleux — ses odeurs de graisse sans âge, ses verrières chaudes, ses vieilles demoiselles aux courbes parfaites… Premier aperçu de cette usine aux créatures joliment carrossées, sûrement pas le dernier…
