
Aperçu d’un parcours nouveau, qui flirte loin aux limites de la bienséance, sans doute trop pour ceux que gêne la nudité ou l’équivoque (vous voici prévenus, sinon avertis !)…
Nue propriété est en ligne à la rubrique De grandes séquences (Long stories).
Voici le texte d’ouverture du livret :
Nous étions des voyeurs nés. Des voisins sans fiabilité. Des cafards. Des Caïn. Fuyants. Fluides. Fluctuants. Indiscernables. Nous étions insaisissables. Nous pouvions paraître aériens. Absents. Éthérés. Ou tordus. Franchement médiocres. Crétins au besoin. Toujours équivoques. Paraître du menu fretin. Irrésolu. Paraître bornés. Lanterner. Paraître bouchés. Faire les falots et les ballots effacés. Paraître bouchés à l’émeri. Jouer les Agnus Dei. Pourvu qu’on nous crût. Des enfants de Jésus.
(Jean-Pierre Verheggen, du sublime et scandaleux Pubères, putains.)

