
Une séquence avec du noir, du gris, et pas beaucoup de blanc. Les mots qui l’ouvrent sont de Fabrice Melquiot, poème en boucle lui aussi qui, dans une autre vie, fait la clôture de la version live des Limites nous regardent. C’est assez nu, n’y allez pas si ça vous gêne.
Dispositif analogique [Analogic playground], c’est à découvrir ici [edit septembre 2014].
