Au coin de ta rue
Juste fait monter à la surface une vue de rue étrange faite au cours d’un de mes voyages à Bruxelles, pour manifester l’émotion sans pérorer davantage…
Juste fait monter à la surface une vue de rue étrange faite au cours d’un de mes voyages à Bruxelles, pour manifester l’émotion sans pérorer davantage…
Debout, Gabriel médita puis prononça ces mots : — L’être ou le néant, voilà le problème. Monter, descendre, aller, venir, tant fait l’homme qu’à la fin il disparaît. Un taxi l’emmène, un métro l’emporte, la tour n’y prend garde, ni le Panthéon. Paris n’est qu’un songe, Gabriel n’est qu’un rêve…
C’était comme un pilote (en photographies) pour un livre sur Paris, où les chambres d’hôtel cramoisies auraient eu la vedette. Plan foireux s’il en fut, mais j’y ai vécu deux-trois clichés lynchiens que je ne regrette pas… Il paraîtrait que c’est un peu l’époque où rituellement je mets le feu…