Catégorie : hommages
« Puis, du point de vue de la réalité, ce fut fini. »
Dormir dans le feu, dormir au fond du malheur, dormir dans les pierres, dormir enfin dans un rêve de victoire, dormir enfin dans un rêve de durée éternellement figée, dormir enfin au cœur d’un conte de la Mémé Holgolde,
Je dois y aller
Je me rappelle les livres que nous lisions, les histoires que les adultes nous racontaient. Notre culture allait dans toutes les directions mais, dans de nombreux cas, elle reflétait la réalité de notre routine : une fraternité égalitariste que tout mutilait, un paysage de cendres, de barrières, d’enfermement, un ciel…
Une journée bien cadrée
Si seulement Irregular était un vrai blog… Ma journée d’hier vous tiendrait en haleine à coup de récits croustillants et photos de making of désopilantes comme elle m’a tenu moi-même : matinée d’accrochage de Passes et passages à Guyancourt (1), après-midi à la prison de Fleury-Mérogis pour faire avancer vaille…
Ma vie (Rien à voir avec)
Il boutonne sa chemise. Bernard Faucher, ce n’est pas aujourd’hui que ta vie va changer. Souffles coupés. Cris. (Faire l’amour est une maladie mentale qui gaspille du temps et de l’énergie. Ce n’est pas une position personnelle, juste un texte assez sublime de Fabrice Melquiot.)
Ce qui accroche
Cette contemporaine, nonobstant avenante, descente de cimaises pour vous rappeler en clin d’œil mon actualité imminente en matière d’exposition. Il va sans dire que les sujets, comme les cadres de ces manifestations, sont éminemment plus corrects…
Les inventions oubliées :
aujourd’hui, s’écouter respirer
Le lieu : une cabine de radio (l’autre, celle aux rayons X) ; ex-sanatorium sacrifié ; petit sentiment d’abandon. Rien que du très classique…
Organisation pour la libération des songes
Deuxième* extrait pas tout à fait sec d’une performance photo-plasticienne avec plâtre et amies, improvisée en marge de La séparation des songes. On en reparlera. De qui, de quoi, de quand. Bla bla. Pour l’heure, chut, ça déménage… * Le premier était là.
Changement de peau et autres camouflages
Béru change son écureuil de bras. — Salut, fait-il, vous me reconnaissez ? L’autre le considère calmement. — Il me semble, admet-il, je vous ai vendu quelque chose il n’y a pas très longtemps… N’est-ce pas un appareil photographique ? (Des gueules d’enterrement, un San-Antonio avec ceci de particulier qu’un…
