Limites et (bonne) compagnie
Ceux qui cliqueront découvriront caché derrière la porte un nouveau panoptique frais du jour. A croire que Les limites nous regardent est un projet qui ne se repose jamais ! Mais ce n’est pas tout.
Ceux qui cliqueront découvriront caché derrière la porte un nouveau panoptique frais du jour. A croire que Les limites nous regardent est un projet qui ne se repose jamais ! Mais ce n’est pas tout.
Djennifer Goranitzé, une des reines du dortoir ouest, se rendait chaque année de l’autre côté de la frontière. Le voyage était difficile et souvent Djennifer Goranitzé risquait sa vie dans l’entreprise. Elle serrait les dents, elle se battait contre l’adversité, elle avançait coûte que coûte
Aperçu d’une Petite histoire pour ne pas dormir, dont je tarde à accoucher. Fantaisie pour 7 portes, un parquet bourgeois, une loupe un peu lourde, une blonde toute nue et une brune cravatée…
Jean Dir, copain lyonnais de fraîche date, vient de choisir d’arrêter là l’expérience de la vie sur Terre.
Voici pour vous le Fetish Spreads volume 6. Désinhibitions [watch me now] est son titre et peu ou prou sa thématique. L’image ci-dessus n’en est pas extraite, mais c’est tout comme… Je vous souhaite du rose aux joues et tout ce qu’il vous plaira… La petite gâterie est à déballer…
En main le livret édité à l’occasion du spectacle Vavangaz Ti Katorz*, avec des extraits bilingues (kreol/français) du texte et Vavangaz photographique cosigné Ernesto Timor (à la photo et au graphisme) et Nelly Cazal (emplâtreuse et fonnkézèz [celle-qui-dit])… A feuilleter en avant-première à l’écran : ici ! Et à découvrir…
Parfois je me fais peur [Grrrnd zero], en 8 photos. C’est à la rubrique Petites histoires pour ne pas dormir (Short lullabies). Il serait temps de se garer des voitures, voyons…
Une image de rêve éveillé, qui veut tout et rien dire, réalisée sur les terres bétonnées de mon enfance (ce qui veut également tout et rien dire). Une petite fiction claire-obscure en véranda prolongera cette amorce, à découvrir bientôt sur Trompe-la-mort… Et comme j’aime les échos déformants, j’en profite pour…