Last minute incartade ?
Lu dans Le Progrès du 20 juin : « A voir sans faute ces scènes familières et surréalistes, portes entr’ouvertes sur l’autre côté d’un miroir. Les œuvres d’Ernesto Timor sont traversées par les lignes de fuite, des trouées de lumière, des silhouettes furtives dans la pénombre de la ville. » (Monique Desgouttes-Rouby).…
